résistance contre notre politique. A cette fin, il n'y a pas de différence entre les terroristes et les responsables politiques, entre la résistance armée ou civile, entre le Hamas et le Fatah. La destruction maximale des biens sera dissuasive. Il s'agira d'une action répétée, afin d'éliminer tout nouveau groupe de responsables dès qu'il émergera.
Nos actions renforceront nécessairement la motivation des terroristes pour exécuter des attentats-suicides en Israël. Cela nous fournira - à la fois dans les sphères nationale et internationale - des raisons pour notre action militaire, qui sera considérée comme une riposte.
Les FID exerceront aussi un rôle central dans le domaine des pressions économiques (voir ci-dessous).
Il faudra s'assurer qu'aucun officier qui ne soutient pas sans réserve cette tâche puisse atteindre une position importante (chef d'état-major, officier en charge d'un commandement régional, chef de département, commandant de division ou de brigade). Pour remplir une mission historique, la dureté et la cruauté sont nécessaires ; il ne peut y avoir de place pour les cœurs sensibles.
Pression économique
L'expulsion massive, comme en 1948, ne peut avoir lieu que dans une situation particulière, comme une guerre totale, ou pendant un événement international qui détourne l'attention du monde.
Jusqu'à ce que ceci se produise, les Palestiniens doivent être contraints de quitter le pays par des pressions économiques qui rendront leur vie insupportable. Ces pressions pourront être causées par le biais de fermetures ou de blocus qui empêcheront le déplacement des commerçants et des ouvriers, des professeurs et des élèves, des médecins et des patients. Toute vie économique dans les territoires doit être progressivement réduite à zéro, de telle sorte que les chefs de famille n'aient plus la possibilité de nourrir leurs enfants.